Par Heidi Schedler, présidente du comité des ressources humaines (heidi.schedler@skipatrol.ca)
Le changement est parfois difficile. Il peut aussi être stimulant, rafraîchissant, rajeunissant et bénéfique. Mais il arrive qu’il suscite de la résistance. Voici certaines réactions qui pourraient donner à penser que vous éprouvez de la difficulté à gérer le changement :
- « Je ne crois pas que nous devrions essayer de changer le cours des choses ».
- « Mais c’est ainsi que nous procédons depuis des années ».
- « Tout cela est stupide! »
- « Vous allez ruinez notre organisation ».
Si vous essayez de formuler de tels énoncés, ils vous procurent un soulagement immédiat, mais n’ont aucun effet nutritif. Lorsque vous gérez le changement, vous voulez éviter ce type de commentaire et concentrer vos efforts sur la recherche d’une valeur ajouté. Plutôt que de vous complaire dans de tels énoncés, posez des questions. Non pas des questions agressives ou passives, mais des questions légitimes qui communiquent ce que vous ressentez tout en ajoutant de la valeur :
- « Ce que vous me dites fait problème pour moi. Pouvez-vous me dire ce que ce changement signifie pour moi? »
- « Je ne suis pas sûr de comprendre pourquoi nous devons faire cela. Pouvez-vous expliquer à nouveau? »
- « Pourquoi devons-nous modifier la façon dont nous procédons? Qu’est-ce qui ne fonctionne pas? »
Un autre élément clé pour gérer le changement avec succès consiste à accepter que, même si vous n’êtes pas d’accord avec le changement, il se produira de toute façon. Et cela n’est pas mauvais. Dans des organisations comme la PCS, le changement est stratégique, planifié, discuté et progressif. Il n’est pas personnel.
Le respect vous aidera à gérer le changement. Veuillez consacrer quelques minutes à examiner notre nouvelle Politique de respect mutuel. Nous avons tous un rôle à jouer pour assurer des communications plus respectueuses, surtout lorsque nous gérons le changement.
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